Le projet, parlons-en !
L’éducation et les enfants sont une priorité du projet d’Emmanuel Macron.
Pour cela il est prévu d’augmenter jusqu’à 35 heures le temps de travail des AESH pour revaloriser et mieux aider les enfants. Cette mesure est nécessaire car nous sommes convaincus que chaque fois que c’est possible, un enfant en situation de handicap doit être scolarisé en milieu ordinaire.
C’est aussi une mesure pour toute la famille car une même fratrie doit emprunter le même chemin chaque matin ensemble : celui de l’école de la République et y trouver les réponses adaptées à ses besoins, notamment en termes d’accompagnement.
Notre politique commence à porter ses fruits : le nombre d’élèves handicapés scolarisés n’a jamais été aussi haut (400 000, +24% en 5 ans), mais elle doit se poursuivre et se développer.
Pour que cette ambition soit possible, nous nous appuyons sur les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH). Comme les AESH ne travaillent que sur le temps scolaire, trop d’enfants subissent des ruptures d’accompagnement, à la cantine ou après la classe.
D’accompagnant « d’élèves en situation de handicap », l’AESH doit devenir un accompagnant « d’enfants en situation de handicap » dont le rôle reste essentiel à l’école mais continue après la classe ou pendant les vacances scolaires par exemple.
Il faut que le statut d’AESH soit attractif pour pouvoir continuer à faire bénéficier les élèves en situation de handicap d’un accompagnent adaptés. Pourtant cela reste un statut avec beaucoup de temps partiel subi car le temps de travail est souvent limité au temps que l’élève passe à l’école.
Les AESH y sont favorables : elles revendiquent un emploi plus stable, et mieux rémunéré, avec moins d’élèves et une reconnaissance du métier.
Le projet, Parlons-en !
Le projet, parlons-en!
Le projet, parlons-en !
Le projet, parlons-en !
Le projet, parlons-en !
le projet, parlons-en !